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CABARET DE CARTON

Tarif A - 1h35
Tout public

GRANDE SALLE
Jeudi 6 mars – 20h
Vendredi 7 mars – 20h


LES GROS PATINENT BIEN

COMPAGNIE LE FILS DU GRAND RÉSEAU

Sur un plateau nu et presque sans accessoires, le duo fait naître un univers foisonnant et loufoque. Ça va cartonner !

L’un, gros et barbu, immobile au centre de la scène, raconte le périple d’un homme parti d’un fjord des îles Féroé pour un voyage à travers l’Europe. Il s’exprime dans un anglais curieux, savamment yaourté. L’autre, grand mince dégingandé, s’agite sans un mot en maillot de bain d’un bout à l’autre de la scène, avec une énergie survoltée pour mimer les personnages, les paysages et les objets rencontrés dans l’histoire. Pour accomplir sa lourde tâche, il est équipé de simples bouts de cartons griffonnés, mais qui font leur effet. Laissez-vous embarquer dans ce voyage clownesque, déjanté et poétique.


Ils déchaînent des tempêtes de rires et leur cabaret ait un carton. – L’OBS
On rit de ces gamineries pimentées d’absurdité et de burlesque mais qui n’oublient pas de glisser, ici ou là, des allusions à la folie de notre monde. – Le Monde
Une olie burlesque digne des meilleurs clowns. – Télérama

Molière du Théâtre Public 2022

Avec : Olivier Martin-Salvan en alternance avec Jonathan Pinto-Rocha, Pierre Bénézit, et Marc Riso – Pierre Guillois en alternance avec Grégoire Lagrange, Édouard Penaud et Félix Villemur- Ponselle – Direction technique : Colin Plancher – Ingénierie carton : Charlotte Rodière – Accessoiriste : Émilie Poitaux – Création sonore : Loïc Le Cadre – Régie générale : Colin Plancher – Régie plateau : Émilie Poitaux.

© Photo : Fabienne Rappeneau

Production : Compagnie Le Fils du Grand Réseau – Conseil costumes : Coco Petitpierre – Assistante de tournée : Thylda Barès – Coproductions : Ki M’Aime Me Suive, Le Quartz – SN de Brest, Carré du Rond-Point, Le Quai - CDN Angers Pays de la Loire, Tsen Productions, CDN de Normandie - Rouen, Le Moulin du Roc - SN à Niort, Comédie de Picardie, CPPC - Théâtre l’Aire Libre – Soutiens : Ville de Brest, Région Bretagne, Fonds SACD Humour/ One Man Show, Le Centquatre - Paris, Théâtre Sénart - SN – Remerciements : Théâtre des Bouffes du Nord, Espace Carpeaux - Courbevoie, Théâtre des Quartiers d’Ivry - CDN du Val-de-Marne, Malakoff SN – Spectacle créé le 9 septembre 2020 dans le cadre du Festival le Rond-Point dans le jardin – La Compagnie Le Fils du Grand Réseau est conventionnée par le Ministère de la Culture - DRAC de Bretagne.

Site de la compagnie

Olivier Martin-Salvan et Pierre Guillois rêvaient, après 14 ans de complicité, de partir sur un duo. Clowns sans en être, s’inspirant davantage du slapstick anglo-saxon, ils voulaient surtout que ce projet leur permette d’atteindre des publics plus larges, plus divers.

Lors de la première répétition, alors que des cartons traînaient dans un coin, ils ont commencé à écrire dessus à l’aide de gros marqueurs noirs pour figurer les accessoires et décors qu’ils imaginaient pour une histoire qui soudain s’ouvrait sur d’infinis possibles grâce à ce procédé connu depuis la nuit des temps.

Fort de leur expérience de BIGRE sur la gestion des accessoires et la poésie qu’ils y trouvent, Olivier et Pierre ont écrit, pas à pas, l’absurde voyage d’un homme qui ne bouge pas mais qui pourtant traverse l’Europe et sans doute fera le tour du monde grâce à son complice, qui, tout maigre qu’il est, fait défiler derrière lui les paysages, personnages et éléments rencontrés le long de la route.

Le spectacle tire sa saveur du contraste entre l’acteur immobile mais voyageur, porté par un Martin-Salvan virtuose d’un langage non répertorié, avec l’agitation pathétique du préposé aux décors, un Guillois survolté dont l’énergie désespérée est le salut.

Pierre Guillois - Auteur metteur en scène comédien
Pierre Guillois a été artiste associé au Théâtre du Rond-Point de 2018 à 2022, au Quartz, Scène nationale de Brest de 2011 à 2014, directeur du Théâtre du Peuple de Bussang de 2005 à 2011, artiste associé au Centre Dramatique de Colmar de 2001 à 2004. Il est actuellement artiste associé à Scènes Vosges. Créateur d’œuvres originales, ses comédies ont particulièrement tourné en France et à l’étranger : Sacrifices coécrit avec Nouara Naghouche, Le Gros, la vache et le mainate (musique : François Fouqué), Bigrecoécrit avec Olivier Martin-Salvan et Agathe L’Huillier – Molière de la comédie 2017. Il s’aventure d’autres fois sur des terrains plus dramatiques : Terrible Bivouac, récit de montagne, Grand Fracas Issu de Rien (création collective), Le Chant des soupirs (de et avec Annie Ebrel), Au Galop (de et avec Stéphanie Chêne), Le Sale Discours (de et avec David Wahl). Il a également collaboré avec la troupe d’acrobates Akoreacro pour Dans ton cœur, une proposition alliant cirque, théâtre et musique. Dans le domaine musical il met en scène, Abu Hassan de Weber avec le Théâtre musical de Besançon, Rigoletto de Verdi avec la Cie Les Grooms et La Botte secrète de Claude Terrasse, avec la Cie Les Brigands où il rencontre Nicolas Ducloux avec lequel il écrit ensuite Opéraporno(2018) puis MARS-2037, production franco-autrichienne. La commande du Festival d’Avignon et de la SACD pour l’édition 2019 de Vive le Sujet lui permet de rencontrer Rébecca Chaillon avec laquelle il co-écrit et co-interprète Sa Bouche ne connaît pas de dimanche. En 2021, il retrouve Olivier Martin-Salvan et créent ensemble Les Gros patinent bien - cabaret de carton - Molière du Théâtre Public 2022, ce spectacle joue à la fois à Paris (Théâtre Tristan Bernard) et partout en France – version salle ou extérieure - et fête sa 400 ème représentation. Sa dernière création est Le Voleur d’animaux, de et par Hervé Walbecq, qui tourne dans les collèges et lycées.  Pierre Guillois est le directeur artistique de la Compagnie Le Fils du Grand Réseau, conventionnée par le Ministère de la Culture – DRAC de Bretagne.  

Olivier Martin Salvan - Co-auteur, comédien
Après avoir été artiste associé au Quartz - Scène nationale de Brest de 2014 à 2017, il est parrain de la promotion 30 de l’École de la Comédie de Saint-Étienne - Centre dramatique national de 2018 à 2021. Il est actuellement artiste associé au Centquatre- Paris et membre du phalanstère d’artistes du Centre National pour la Création Adaptée de Morlaix. Il tisse d’étroites complicités avec de nombreux artistes auteurs et metteurs en scène, notamment Pierre Guillois depuis 2006 avec qui il entame une série de collaborations au Théâtre du Peuple à Bussang, avant de co-écrire et interpréter Bigre, mélo burlesque en 2014, Molière de la meilleure comédie en 2017. Entre 2020 et 2021, ils conçoivent ensemble Les gros patinent bien, cabaret de carton. Il joue également dans les créations de Valère Novarina depuis 2007 : L’ Atelier Volant, Le Vrai Sang, L’ Acte inconnu. En 2018, Clédat & Petitpierre conçoivent avec lui un solo sur mesure, Panique !, inspiré des représentations mythologiques du dieu PAN. Catalyseur d’équipes, Olivier Martin-Salvan conçoit des spec- tacles depuis 2008 tout en restant interprète : Ô Carmen, avec Nicolas Vial en 2008 ; Pantagruel, avec Benjamin Lazar en 2013 ; Religieuse à la fraise, avec Kaori Ito en 2014 ; UBU d’après Alfred Jarry, création collective en 2015 ; Andromaque, avec Thomas Condemine en 2017 ; [Zaklin] Jacqueline, écrits d’Art Brut, avec Philippe Foch en 2019 ; PEPLUM (titre provisoire), un peplum médiéval qui cherche à mélanger les genres et à rendre hommage à la folie colorée du Moyen Âge, création prévue pour 2023.

Grégoire Lagrange - Comédien (en alternance)
Après avoir achevé sa formation aux cours Florent en participant au prix Olga Horstig, Grégoire intègre le Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique en 2012. Il y fait la rencontre de metteurs en scène comme Michel Fau, Patrick Pineau, Fausto Paravidino, Yann-Joël Collin ou encore David Lescot.Il retravaillera avec ce dernier à sa sortie du Conservatoire dans une collaboration avec le théâtre Liyuan de la ville de Quanzhou, en chine, puis dans son spectacle Les glaciers grondants, et quelques années plus tard dans sa mise en scène de l’opéra de Brice Pauset, Les Châtiments d’après Kafka, à l’opéra de Dijon. En 2017, il joue dans La discrète amoureuse de Lope de Vega dirigé par Justine Heyneman, et l’année suivante dans le Macbethde Frédéric Bélier-Garcia, créé au CDN d’Angers, au côté de Dominique Valadié. Puis il participe à la création de Villa Dolorosa de Rebekka Kricheldorf, mise en scène par Pierre Cuq, spectacle Lauréat du prix Théâtre 13 / Jeunes metteurs en scène. Il intègre alors le collectif 49701 et débute une aventure qui durera de nombreuses années jusqu’à aujourd’hui. Avec lui il joue Les Trois Mousquetaires - La Série, adaptation théâtrale du roman de Dumas, mise en scène par Clara Hédouin et Jade Herbulot, qui comprend six spectacles, joués dans de nombreux théâtres et festivals en France depuis 2018, notamment au TGP, au Théâtre du Nord, au Monfort Théâtre à Paris, ou encore aux Gémeaux à Sceaux. Une adaptation cinématographique produite par France Télévisions est en cours et sortira en octobre 2022 sur Culturebox. En 2023, on pourra le voir dans la pièce On ne paie pas, on ne paie pas ! de Dario Fo, mis en scène par Bernard Levy, à la MC2 de Grenoble et au Théâtre de la Tempête à Paris.  

Jonathan Pinto-Rocha  - Comédien (en alternance)  
Formé deux ans au métier de comédien à l’École de théâtre parisienne L’Éponyme, chanteur et musicien autodidacte, il incarne depuis 2011 le Génie de la lampe, dans Aladin de Jean-Philippe Daguerre, et se produit dans des salles de la capitale (Théâtres des Variétés, Théâtre du Palais-Royal, Théâtre du Gymnase...), ainsi qu’en tournée (France, Belgique, Suisse...). Son tempérament scénique et sa passion du chant lui valent, entre autres, de décrocher en 2014, le rôle de Papageno dans La Flûte enchantée, adapté musicalement pour le théâtre par Petr Ruzicka et mis en scène par Jean-Philippe Daguerre au Théâtre des Variétés. Il joue en 2011 dans le court-métrage Casse-gueule, réalisé par Clément Gonzalez, qui obtient un prix spécial du jury pour la totalité de la distribution, le prix du public et le prix du meilleur film aux festivals 48 Heures Film Project Paris et P’tit Clap Levallois. Il rencontre à cette occasion Simon Astier qui lui propose amicalement un rôle dans la troisième saison de sa série Hero Corp en 2013. En 2012, il participe à nouveau au festival 48 Heures Film Project, dans le court-métrage de Clément Gonzalez, Du sable dans les pompes, qui obtient le prix du public et le prix de la meilleure distribution. Depuis décembre 2015, il incarne le maître à danser et Covielle dans Le Bourgeois gentilhomme, mis en scène par Jean-Philippe Daguerre au Théâtre Michel. Il interprète également le rôle d’Olivier en alternance avec Olivier Martin-Salvan dans Bigredepuis mai 2016. En 2018 on lui offre le rôle de Richard dans L’Arche, comédie musicale déjantée d’Olivier Denizet et Suzanne Legrand, au cours de cette exploitation il est repéré par la troupe des Franglaises qu’il intègre fin 2019 dans le rôle du maître de cérémonie, il se produit avec eux à Bobino et en tournée dans tout l’hexagone.  

Félix Villemur-Ponselle Comédien (en alternance)  
Félix Villemur-Ponselle commence en 2016 des études de théâtre aux cours Florent. En 2020, il monte avec des camarades des cours Florent «Fantasio» d’Alfred de Musset, qu’il joue dans des Epadh, des jardins publics et pour des particuliers. Puis il intègre l’école nationale de la Comédie de Saint- Étienne avec comme parrain de promotion Adama Diop. C’est au sein de cette école qu’il travaillera pour la première fois avec Olivier Martin Salvan. Il joue en 2022, Cactusman dans « Traversée » mis en scène par Adama Diop à partir des textes « la mélancolie des barbares » de Koffi Kwahulé, et « Traces » de Felwin Sarr. En 2023 il joue dans « Au fond et au jour mémoires des mines du bassin stéphanois » une pièce de théâtre documentaire écrite et mise en scène par Chloé Bonnifay, Alice Carré et Margaux Eskenazi. Également en 2023, il interprète le rôle de Félix dans le spectacle de sortie de la promotion 31 : « Bunker » de Baptiste Amann, mis en scène par Adama Diop. Il travaille le clown durant ces trois années avec Heinzi Lorenzen, le masque avec Luca Franceschi et Marcela Obregon. Il sort diplômé en juin 2023 et est engagé pour la nouvelle création de la Cie By Collectif: « GREGORY».  

Edouard Penaud - Comédien (en alternance)
Edouard PENAUD est né à Milan en 1990 et a grandi à Gênes. Il commence le théâtre à l’âge de 18 ans à la Quinta Praticabile sous la direction de Christian Zecca. En 2011, il intègre le Cours Florent à Paris où il se forme durant 4 ans. En septembre 2015, il rejoint le Conservatoire national supérieur d’art dramatique de Paris (CNSAD). En mai 2019, il met en scène «Nos années de plomb» au Théâtre de la Ville à Paris. Il crée « Comment-vous ? » au Conservatoire national supérieur d’art dramatique de Paris, puis au CDN Théâtre des Ilets, suite à une action Culture et Santé, à l’Hôpital psychiatrique de jour pour adultes «Jean Billaud» à Montluçon. En 2020, il rejoint le Centre Dramatique National d’Aubervilliers, le Théâtre de la Commune, en tant qu’assistant à la mise en scène et artiste cadre. Il travaille sous la direction de Luca Giacomoni, le Birgit Ensemble, Pierre Guillois et Olivier Martin Salvan, le Maire José Malis, Louis Berthélémy. En 2023, avec sa Cie du Tous Vents, il crée la première édition du Festival «Les longs jours».  

Marc Riso – Comédien (en alternance)
Après trois ans de formation au Cours Simon à Paris, Marc est engagé dans des émissions à Sketchs sur Canal + comme Le Débarquement de Jean Dujardin, La Grosse Émission ou Bref de Kyan Khojandi. Principalement acteur au cinéma, il fait ses premiers pas dans les films Les têtes de l’emploi et Ami-ami, puis continue avec Si on chantait, Zaï Zaï Zaï Zaï, Gueules Noires ou encore Un ptit truc en plus… Pendant trois ans, il est au casting de la série Je te promets pour TF1, puis Drôle sur Netflix. Comédien au théâtre dans La cantatrice chauve, Pour ceux qui restent ou Les Diablogues (spectacles auto-produits), il met également en scène des pièces comme Landru et Fantaisies de Christian Siméon ou DUCE, une comédie-cabaret sur le dictateur italien Benito Mussolini dont il est le co-auteur. En 2018, Marc adapte le roman graphique Comment écrire un polar suédois sans se fatiguer pour le théâtre, puis en écrira un second opus, Comment écrire un film d’horreur américain sans se fatiguer. Marc est originaire du Nord, et en est très fier.  

Pierre Benezit – Comédien (en alternance)
C’est au conservatoire des VIe, Xe et XIIIe arrondissements de Paris, aux côtés de Jean- Pierre Martino et Jean-Louis Bihoreau que Pierre Bénézit assure sa formation de comédien. Ce passionné de chant et guitariste amateur a rapidement fait ses premiers pas sur les planches en participant aux pièces mises en scène par son professeur Jean-Louis Bihoreau comme Shakespeare and Love ou La Foire Saint Germain. En 2000, Pierre Bénézit écrit sa première pièce intitulée Ils ont dû nous oublier qui se jouera au théâtre pendant deux années consécutives puis, c’est dans une pièce de Pierre Bluteau, La Croisière enchantée, que l’on retrouvera le Français pendant six années consécutives. On le retrouve également au cinéma en tant qu’acteur dans des films comme Qui m’aime me suive en 2006, La Guerre des Miss en 2008, La Bande à Picasso en 2011 ou encore Neuf mois ferme d’Albert Dupontel. Côté télévision, Pierre Bénézit participe à des épisodes de Scènes de ménages ou d’Alice Nevers, le juge est une femme, il a également co-écrit la saison 2 de la série Nos enfants chéris sur Canal +, mais aussi Parents mode d’emploi. On peut actuellement le voir sur Netflix dans «Je ne suis pas un homme facile», d’Eléonore Pourrait. Il joue également dans la série «La meilleure version de moi-même», de Blanche Gardin. Sa pièce «Penser qu’on ne pense à rien c’est déjà penser quelque chose» (Production L’explorateur - François Morel) est actuellement en tournée. Il est également membre de l’équipe de création de la pièce Edmond d’Alexis Michalik (récompensée par 5 Molières en 2017), qu’il joue depuis près de 6 ans au Théâtre du Palais Royal.  

« Un cabaret d’une démoniaque virtuosité. Pourtant, avec leur théâtre pauvre et leur langage archi-faux, ils ont créé un monde ; et retrouvé bizarrement le nôtre, avec ses inégalités, ses rapports de force, sa violence, ses aveuglements (ah ! les délirants moments où surgissent les réfugiés !). Nier la réalité permet au théâtre de mieux la voir » Télérama

« Cartoonesque et délirant, ce spectacle, par son économie de moyens et son imagination débridée, a des vertus consolatrices dans une époque hypertechnologique et consumériste. » Le Monde

« EXTRAORDINAIRE » France Inter

« On embarque pour quatre-vingt minutes de haute voltige, assurée par une paire d’acteurs scrupuleusement dépareillée, véritable ressort humoristique, éprouvé au cinéma et ailleurs, comme la comédie a toujours su en produire depuis la marque déposée Laurel et Hardy. » Libération

« Pierre Guillois, un hors-piste créatif et jouissif. Sans qu’un seul mot soit prononcé, le spectacle rend hommage au burlesque du cinéma muet et aux gags burlesques de la comédie du slapstick. Irrésistible » Les Inrockuptibles

« Entre les Monty Python, les frères Cohen et un carton survolté, voici la folle épopée d’un gros barbu qui, par la magie du théâtre et l’imagination débordante de ses créateurs, passe d’un fjord aux côtes françaises, échappe à un ours, pêche une sirène, vole en avion, chevauche un baudet, une trotinette, entre beaucoup d’autres. Incroyablement drôle et inventive » Le Parisien

« Entre chansons kitsch et patinage «artistique», la fantaisie met le feu au cabaret. Mais leur plus beau véhicule c’est leur imaginaire débridé, qui permet toutes les audaces burlesques, tous les délires. un cabaret cartonné, cartoonesque et désopilant à souhait » Elle

« Et l’incroyable cabaret de carton, Les gros patinent bien, sorti de l’esprit espiègle de Pierre Guillois et Olivier Martin- Salvan, a été sacré meilleur spectacle. Heureusement que ces deux comédiens étaient là pour clore, en beauté, une interminable cérémonie (plus de trois heures). Dans l’esprit de leur spectacle, cartons en main, le duo a brandi une proposition, loin d’être saugrenue, à l’attention de la nouvelle ministre de la culture, Rima Abdul Malak : « En ces temps moroses, pourquoi ne pas considérer le rire comme une grande cause nationale. Le rire peut/doit être un acte poétique. Créez s’il vous plaît de toute urgence un théâtre national dédié à la comédie. » Le Monde