5 > 14 septembre

LE ROMAN DE JIM

FILM FRANÇAIS DE JEAN-MARIE LARRIEU & ARNAUD LARRIEU (2024 – 1 H 30 - )
AVEC LAETITIA DOSCH, KARIM LEKLOU, SARA GIRAUDEAU
D’APRÈS LE ROMAN DE PIERRIC BAILLY
SÉLECTION OFFICIELLE, CANNES 2024

Aymeric retrouve Florence, une ancienne collègue de travail, au hasard d’une soirée à Saint-Claude dans le Haut-Jura. Elle est enceinte de six mois et célibataire. Quand Jim naît, Aymeric est là. Ils passent de belles années ensemble, jusqu'au jour où Christophe, le père naturel de Jim, débarque...
Cette chronique de la vie familiale et de la séparation nous a bouleversés. – Télérama

HORAIRES

jeudi 14h30 - 18h45
vendredi 16h30 - 21h
dimanche 16h30

jeudi 20h45
samedi 18h45 D

Dossier de presse

LE MOT DES EXPLOITANT·ES
Avec Karim Leklou, les frères Larrieu délaissent leur fantaisie habituelle et penchent du côté du mélo pour suivre vingt-cinq ans de la vie d’une famille, composée puis décomposée, dans cette adaptation du roman éponyme de Pierric Bailly. Portée par le regard d’Aymeric, photographe amateur, père adoptif et intérimaire gentil, l’intrigue interroge les liens entre un père et un fils, par-delà ceux du sang, dessinant une chronique douce et sentimentale qui va jusqu’au bout de l’émotion. Surtout, elle interroge le temps qui passe, et un rapport aux images et aux photos – elles apparaissent régulièrement en négatif – qui est déjà celui d’un autre temps où il fallait les développer. C’est bien dans cet interstice-là, dans ces creux, dans ces ellipses, que se glisse toute la force tranquille et bouleversante du film.

Marianne Fernandez cinéma Les Templiers, Montélimar
https://www.art-et-essai.org

EXTRAITS DE PRESSE
Les Larrieu, qui pratiquent un cinéma intégralement décentralisé, dressent ici un nouveau tableau de province dépourvu du moindre folklore, axé sur les gens modestes qui bricolent avec leur vie, cherchant en chacun, comme en chaque lieu, la singularité de l’ordinaire. Cela faisait longtemps que l’on n’avait pas vu un tel amour des personnages dans le cinéma français. Le Monde
D’une grande force romanesque, le beau film des frères Larrieu déroule l’histoire d’une paternité atypique et fait jaillir l’émotion là où on ne l’attend pas. Libération
Le dernier film des frères Larrieu, qui explore le profond mystère du lien père-fils, est un bijou d’émotion contenue. Le Point
Adapté du roman de Pierric Bailly, Le Roman de Jim est un mélo ample et profond sur la paternité, où tous les personnages existent intensément. Le Parisien
Arnaud et Jean-Marie Larrieu tirent du Roman de Jim de Pierric Bailly une lumineuse adaptation scandée d’ellipses judicieusement ourlées, qui offrent à chaque avancée scénaristique une saisissante portée. L’émotion y est telle que devant cette histoire de paternité contrariée par le sort, on pleure toutes les larmes de son corps. Bande à part
Afin de donner corps à la bonté bornée et éberluée d’Aymeric, ils ont trouvé en Karim Leklou l’interprète idéal, d’une tendresse littéralement foudroyante, dans l’amour comme dans la résignation. Télérama
Aymeric parvient à se créer une ligne de fuite, à prendre la tangente, à s’inventer un nouveau plan d’existence. Éternel mouvement des Larrieu, qui trouve ici l’une de ses plus belles exécutions. Les Inrockuptibles
Avec Le Roman de Jim, les frères Larrieu adaptent sur le grand écran le roman de Pierric Bailly, le tout avec pudeur, humour et délicatesse. Marianne
Délaissant leur grain de folie habituel, les deux cinéastes filment ce parcours intime avec douceur et subtilité, sublimant les paysages du haut Jura dont la grandeur se met au diapason des sentiments de son héros. La Croix