30 octobre > 26 novembre

FLOW, LE CHAT QUI N’AVAIT PLUS PEUR DE L’EAU

FILM D'ANIMATION LETTON DE GINTS ZILBALODIS (2024 - 1 H 25) - À PARTIR DE 6 ANS
SÉLECTION OFFICIELLE - UN CERTAIN REGARD, CANNES 2024
PRIX DU JURY, PRIX DU PUBLIC, ANNECY 2024

Un chat se réveille dans un univers envahi par l’eau où toute vie humaine semble avoir disparu. Il trouve refuge sur un bateau avec un groupe d’autres animaux. Mais s’entendre avec eux s’avère un défi encore plus grand que de surmonter sa peur de l'eau !

HORAIRES

mercredi 14h30 - 18h30
jeudi 16h30
vendredi 14h15 - 17h30
dimanche 14h30
mardi 15h30

mercredi 14h30 - 18h30
jeudi 16h30
vendredi 14h30 - 16h
dimanche 14h30
mardi 18h30

mercredi 14h15
jeudi 16h30
vendredi 16h30 - 18h30
samedi 14h15

mercredi 14h30
dimanche 14h15
mardi 17h30 D

Dossier pédagogique
Dossier de presse

LE MOT DES EXPLOITANT·ES
Gints Zilbalodis nous avait déjà transporté·es dans un monde incroyable avec Ailleurs (2020). Cette fois-ci, il nous amène dans une aventure sur le grand bleu (et quel bleu !), clairsemé de rencontres fortuites au cours d’un voyage inouï. On se sent submergé par la qualité de l'image et du mouvement, et on ne peut que s'attacher à ces petits animaux qui deviennent des compagnons de voyage. C'est angoissant, captivant, intense et la musique donne la touche finale à ce beau chef d'œuvre !

Maria Cachoir - Réseau Génériques (Normandie)
Membre du groupe Jeune Public
https://www.art-et-essai.org

FLOW, le chat qui n’avait plus peur de l’eau
Ce deuxième long métrage n'est pas sans rappeler Away, premier film de Gints Zilbalodis.Tous deux muets avec une toile picturale évoquant Hayao Miyazaki et empreinte des codes narratifs et de compositions du jeu vidéo où l’épure de détails des personnages permet d’enrichir le récit par la précision des expressions. La permanence et la fluidité du mouvement créent une expérience totalement immersive. Farouchement indépendant, ce chat agrège une communauté de personnalités différentes dont la dynamique forme un récit d’entraide, d’intégration et de résilience. Récit épique, allégorie humaine ou fable écologique, Flow est un pur plaisir de cinéma. Une histoire palpitante et profondément touchante, d’une beauté époustouflante. Une merveille pour spectateurs de tous âges !

Fabienne Fourneret - Acap pôle régional image
Membre du groupe Inédits
https://www.art-et-essai.org

EXTRAITS DE PRESSE
Un film d’animation sublime. Marianne
Une fresque majestueuse et épique. L'Obs
Un choc esthétique et une ode hypnotique à la nature. Télérama
Un film choc sans personnages humains et sans dialogues : du jamais-vu. Le Parisien
Une incroyable odyssée animée. La Croix
Un deuxième film sensoriel et poignant sur l’apprentissage du collectif. CinemaTeaser
Le résultat est une épopée bluffante qui méritait amplement sa sélection au dernier Festival de Cannes, dans la sélection Un certain regard. Le Point
De la peur à l’entraide. Avec toujours une belle part d’inconnu et de mystère, les décors comme l’intrigue, dotée de quelques pointes d’humour, nous entraînent avec poésie vers une fin aussi touchante que déroutante. Abus de Ciné
Le film crée sa magie à partir de l’observation et de la reproduction minutieuses des comportements de chacune des espèces. Comme si l’usage du dessin et de la 3D, à la pointe du réalisme, apportait une nouvelle acuité à notre regard. Le Monde
Si l’animation en 3D est stupéfiante de réalisme en ce qui concerne les animaux et nous plonge dans un univers visuel fabuleux (des ruines émergeant des eaux, des colonnes de pierres vertigineuses, une forêt qui revit), le trait narratif est elliptique et convoque une ambiance planante, calquée sur un rythme et une logique de vie qui nous est totalement étrangère. Libération
Constamment immersif, le film joue de notre biais anthropomorphique sans jamais se départir d’un regard à hauteur de chat. Une fable, une grande, émouvante et sincère, sur le pouvoir du collectif. Et certainement un peu sur l’inutilité de notre espèce, voire sa responsabilité dans l’effondrement du monde. Le règne animal commence ici. Première