Les 24 et 26 novembre
TARIF UNIQUE À 4€.
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Dimanche 24 novembre, 18 h 30
Rencontre avec François Ruffin

AU BOULOT !

FILM DOCUMENTAIRE FRANÇAIS DE GILLES PERRET ET FRANÇOIS RUFFIN (2024 - 1 H 24 - )

« C’est quoi ce pays d’assistés ? De feignasses ? » À la télévision, l’avocate parisienne Sarah Saldmann s’emporte: « Le Smic, c’est déjà pas mal !» D’où l’invitation du député François Ruffin : « Je vous demande d’essayer de vivre, madame Saldmann, pendant trois mois, avec 1 300 €. » Pari tenu mais une semaine, ça sera déjà pas mal…

HORAIRES

20 > 26 NOVEMBRE
dimanche 18h30 RENCONTRE
mardi 20h30 D

Dossier de presse

EXTRAITS DE PRESSE
Un road movie documentaire drôle et attachant. L'Humanité
Un percutant film social, une puissante ode aux héros invisibles. Première
Un documentaire bricolé mais salutaire. Télérama
Au boulot ! est une succession de rencontres, aussi émouvantes les unes que les autres. Le documentaire dit aussi le fossé abyssal entre un discours politique et médiatique déconnecté et culpabilisant et la réalité d'un monde en souffrance. Franceinfo Culture
C’est drôle, parfois émouvant. Caricatural aussi, tant les préjugés de Sarah Saldmann vont au-delà du cliché. Sud Ouest
Mais ce n’est pas sur Sarah Saldmann que le député veut braquer son projecteur. Alors après ce « Rendez-vous en terre inconnue » souvent drôle et éclairant, il achève son film avec ses vrais héros dans une séquence très émouvante sur fond de tapis rouge, coupes de champagne et les paroles de Stromae : « Et si on célébrait ceux qui ne célèbrent pas ». Le Parisien
Au Boulot ! peut être vu comme une synthèse de Merci Patron ! et de Debout les femmes : au premier, il emprunte l’astuce, la farce carnavalesque(...). Du second, il hérite la tendresse, la proximité, l’amour vrai des « gens » . Marianne
Malgré les constats plutôt pessimistes et la conviction qu’un tel film ne change pas grand-chose (puisqu’il ne modifiera sans doute l’avis de personne), "Au boulot !" a le mérite de mettre à l’honneur [...] des travailleurs et travailleuses de l’ombre. Cela jusqu’à une magnifique conclusion qui les met en valeur comme jamais, et rien que pour ça, le jeu en valait la chandelle. Abus de Ciné