Vendredi 14 mars, 20 h 30

Séance précédée d’une carte blanche du Conservatoire à Rayonnement Départemental Camille Saint-Saëns autour du compositeur Moondog, au Barvis à partir de 19h.

ZORN I & II

FILM DOCUMENTAIRE FRANÇAIS DE MATHIEU AMALRIC (2023 - 1 H 53)

Depuis 2010, Mathieu Amalric filme seul, avec sa caméra et ses micros, le musicien new-yorkais John Zorn. Trois films, aux prismes volontairement différents, avec leurs constellations de musiciens, d’amitiés, de travail et d’énergies sonores.

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Samedi 15 mars, 18 h 30

ZORN III

FILM DOCUMENTAIRE FRANÇAIS DE MATHIEU AMALRIC (2023 - 1 H 18)

Dossier de presse

EXTRAITS DE PRESSE
Réalisés par le cinéaste français entre 2010 et 2022, avec une très grande liberté de manœuvre, trois documentaires entraînent dans l’intimité créatrice d’un aventurier musical absolument hors normes. Les Inrockuptibles
Ces trois films rappellent au fond que ce qui lie le cinéma d’Amalric et la musique de Zorn, c’est une même obsession pour le rythme, une énergie tellurique et débordante entièrement dévouée à l’art, et un appétit d’ogre pour la vie. Les fans doivent évidemment voir ça. Première
Dès que Zorn fait surgir un son, qu’il joue du saxophone, dirige un ensemble, arrange ou simplement compose, la caméra d’Amalric reste médusée. Cette béatitude admirative fait écho au sourire généreux qu’arbore Zorn en toutes circonstances, symbole d’une élation mystique selon laquelle l’abandon à la musique permet de redécouvrir l’intérieur de notre corps. Cahiers du Cinéma
En trois épisodes, conçus ces treize dernières années, Mathieu Amalric rend compte de l’univers musical du compositeur John Zorn. D’une grande humilité et d’une totale maîtrise, cette trilogie se présente comme un modèle en matière de documentaire musical. Les Fiches du Cinéma
Suit une heure d’intenses moments de recherche pour trouver la bonne texture, tenir une note, accélérer le tempo pour entrer dans le registre contemporain. A couper le souffle. Le Monde
Ce documentaire séduira les initiés et pourra donner envie aux autres de découvrir ses œuvres. Ouest France
Comme son sujet, Amalric expérimente beaucoup, mais maintient une distance un brin amusée. Acceptant de s’égarer dans un monde où le moindre objet, la moindre rencontre sont prétexte à musique… Télérama