Un choc de cinéma. Le Parisien
Une magnifique fresque monumentale. L'Humanité
Une fresque américaine ? Oui, mais d’une européenne ambiguïté. Un monument ? Peut-être, mais intimiste. Entre classicisme et modernité, Brady Corbet ne choisit pas et accouche d’un grand, très grand film. L'Obs
Ce jeu de massacre orchestré par un metteur en scène en pleine possession de ses moyens montre un autre fascisme : l’impérialisme sur la pensée et les corps. CinemaTeaser
Traversé par des accès de fièvre, une nuit d’ivresse aux teintes orangées, un trip presque halluciné dans les montagnes de marbre de Carrare, The Brutalist raconte un homme et son siècle dans un maelström de scènes inoubliables. Télérama
Nous n'avions pas vu pareille ambition visuelle et thématique dans un film en provenance du Nouveau Monde depuis Coppola, Lynch, Kubrick ou Nicholas Ray. Le Point
D’une ambition à la mesure de son sujet (le destin d’un architecte visionnaire rescapé des camps nazis), le grand œuvre du jeune réalisateur Brady Corbet impressionne de part en part. Les Inrockuptibles
Une œuvre saisissante qui révèle les sombres dessous du rêve américain. La Croix
D’une ampleur romanesque quasi anachronique, d’une ambition dévorante, le film embrasse, au long de ses 3 h 35 gorgées d’images somptueuses, le destin d’un architecte hongrois fictif, László Tóth, formé au Bauhaus et survivant de la Shoah, qui débarque aux Etats-Unis après la guerre avec son savoir-faire pour tout bagage et y déchante cruellement. Libération