7 > 11 mai

RUMOURS, NUIT BLANCHE AU SOMMET

FILM CANADIEN DE GUY MADDIN, EVAN JOHNSON ET GALEN JOHNSON (2025 - 1 H 43) AVEC CATE BLANCHETT, DENIS MÉNOCHET, ALICIA VIKANDER
HORS-COMPÉTITION, CANNES 2024

Réunis dans un château en Allemagne pour leur sommet annuel, les dirigeants des pays du G7 s’installent en bordure d’une forêt pour préparer leur déclaration. À la nuit tombée, le groupe constate que le personnel qui les entourait a disparu alors qu’une menace mystérieuse plane…
À travers des métaphores appuyées, inévitablement, les réalisateurs critiquent l’inaction et l’hypocrisie des dirigeants politiques face aux inégalités sociales et à la crise climatique. Avec l’intention, surtout, de nous faire rire jaune. - La Presse

HORAIRES

7 > 13 MAI
mercredi 18h30
jeudi 14h15 - 20h45
vendredi 16h30 - 20h45
samedi 16h30
dimanche 18h45 D

Dossier de presse

LE MOT DES EXPLOITANT·ES
Un film comme un conte, tout aussi utile et révélateur, et qui résonne tout particulièrement dans l’actualité politique internationale. Une comédie noire satirique, absurde et nihiliste servie par un casting au diapason et surtout une réflexion sur l’isolement et les relations humaines dans notre monde moderne, twistée par l’imagination burlesque et un peu trash de Guy Maddin. L’auteur de Winnipeg mon amour met un place un décor stupéfiant servi par une photographie subtile et une mise en scène complexe. Une fois n’est pas coutume, on peut saluer la fidélité d’un distributeur indépendant à son auteur et vice-versa.

Priscilla Gessati - L'Entrepôt, Paris


https://www.art-et-essai.org

EXTRAITS DE PRESSE
Un pitch redoutable, à travers lequel le Canadien Guy Maddin impose la comédie noire la plus rafraîchissante de l’année. L'Humanité
Servi par un casting excellent, le savoureux film de Guy Maddin, Evan Johnson et Galen Johnson raille l’incompétence et le verbiage politique sans se départir d’un certain onirisme. Libération
Dans ce jeu de massacre, au sens propre comme au sens figuré, où le vernis diplomatique n’est plus de mise, les travers supposés des représentants des différentes nations – l’arrogance française, la rigueur allemande, le je-m’en-foutisme américain, la veulerie italienne et ainsi de suite – auront bien du mal à faire office d’issue de secours. Succulent. Rolling Stone
L’humour parfois noir de ce film est à embrasser dès le début, faute de quoi, on pourrait ne pas profiter pleinement du spectacle. Ne cherchez pas à comprendre quelle est la crise qu’ils doivent résoudre, laissez-vous plutôt embarquer dans les errances des personnages et dans leurs dialogues qui sont appuyés par une bande son digne des meilleures télénovelas. - Abus de Ciné
La force de Rumours, nuit blanche au sommet est de déployer une mise en scène à la fois chargée d’idées et très minimaliste, tout en jouissant à petit budget d’une pléthore de stars embarquées dans un délire auquel elles semblent apprécier participer. SoFilm
Avec son casting et sa production le destinant à un légèrement plus vaste public, "Rumours" demeure pourtant un objet unique, iconoclaste, parfaitement imparfait et terriblement attachant. Culturopoing.com