1er > 7 janvier
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Mardi 7 janvier, 18h45

SÉANCE SUIVIE D'UN DÉBAT

avec Bamchade Pourvali, écrivain de cinéma

UNE LANGUE UNIVERSELLE
(UNIVERSAL LANGUAGE)

FILM CANADIEN DE MATTHEW RANKIN (2024 - 1 H 29)
AVEC MATTHEW RANKIN, PIROUZ NEMATI
QUINZAINE DES CINÉASTES, CANNES 2024

Matthew quitte Montréal où il a travaillé toute sa vie pour retourner à Winnipeg où il est né. L’espace-temps paraît alors bouleversé et tout le monde parle persan dans la métropole canadienne.
"Cette comédie absurde et pince-sans-rire est une déclaration d’amour à la culture iranienne, mais aussi une méditation sur le curieux espace, géographique et mental, que représente le Canada, ce géant insaisissable." Quinzaine des réalisateurs

HORAIRES

1er > 7 JANVIER
mercredi 18h30
jeudi 20h45
vendredi 18h30
dimanche 18h
mardi 18h45 D + DÉBAT

Dossier de presse

EXTRAITS DE PRESSE
Située dans l’apparemment triste ville canadienne de Winnipeg, Une langue universelle, le deuxième long métrage de Matthew Rankin, gravite entre Buster Keaton, Wes Anderson et Abbas Kiarostami. L'Humanité
La mise en scène, sans cesse loufoque et narquoise, fait dialoguer (entre autres) Kiarostami et Tati. Pas la moindre des élégances. L'Obs
Une projection improbable du cinéma iranien des années 1980-1990 au fin fond du Canada, dans un exercice de style enthousiasmant. Les Inrockuptibles
Il y a tout à la fois du Où est la maison de mon amie ? de Kiarostami que du Wes Anderson ou du Roy Andersson dans la manière dont Rankin déploie de la fantaisie par sa mise en scène d’une grande rigueur, dans la composition des plans comme la façon d’y faire évoluer ses personnages. Et on prend un bonheur fou à se perdre dans ce film que le Canada a choisi pour le représenter aux Oscars. Première
Le nouveau film de Matthew Rankin confirme le talent exceptionnel d’un cinéaste singulier, faisant partie de la belle famille des excentriques, de Wes Anderson à Roy Andersson. Les Fiches du Cinéma
Une langue universelle […] puise dans la matérialité du réel pour mieux le réinventer, exagérant la fadeur de la ville en n’en conservant que le plus gris et le plus beige. Cahiers du Cinéma