Les 1er et 4 janvier

2=1 ENFANTS TERRIBLES

DEUX FILMS POUR LE PRIX D'UN !

Samedi 4 janvier
L'AMOUR OUF (18 H) + LEURS ENFANTS APRÈS EUX (21 H 30)
Le Barvis est ouvert de 18 h à 23 h : boissons et petite restauration.


L'AMOUR OUF

FILM FRANÇAIS DE GILLES LELLOUCHE (2024 – 2 H 40)
AVEC ADÈLE EXARCHOPOULOS, FRANÇOIS CIVIL
D'APRÈS UN ROMAN DE NEVILLE THOMPSON
SÉLECTION OFFICIELLE, CANNES 2024

Jackie et Clotaire grandissent entre les bancs du lycée et les docks du port. Elle étudie, il traîne. La vie s'efforcera de les séparer mais rien n'y fait, entre ces deux-là, c'est l'amour fou...

HORAIRES

1er > 7 JANVIER
mercredi 15h30
samedi 18h 2=1 / D

Dossier de presse

EXTRAITS DE PRESSE
Une déclaration d'amour à l'adolescence et au cinéma. Ouest France
Un spectacle généreux, si rare par chez nous, qui fait plaisir à voir. L'Obs
Entre coup de foudre et coups de poing, scènes de baston viriles et premier baiser dans un champ de colza, « l’Amour ouf » cogne fort et c’est un vrai plaisir de cinéma. Le Parisien
Il y a dans ce geste un panache kamikaze qui emporte souvent tout sur son passage. Mais pour que ce voyage tonitruant fonctionne sans que les moments plus intimes ne paraissent hors sujet, il fallait des acteurs au diapason. Première
Après « le Grand Bain », son feel good movie subaquatique, Gilles Lellouche a vu grand, dans une œuvre qui oscille entre du Scorsese, pour les gangsters et la galerie de personnages, et « Top Gun » pour les couchers de soleil un peu kitsch. L'Humanité
Si l'on est pris par l'action et les sentiments, demeure cependant l'étrange impression, en raison de son casting prestigieux, de voir plus les acteurs et moins leurs personnages. Mais l'originalité, le talent et l'enthousiasme font que le courant passe. Franceinfo Culture
À travers ce duo d’entêtés, sortis d’un roman de l’Irlandais Neville Thompson, Gilles Lellouche célèbre ceux que la société considère comme des perdants, mais qui ont gagné le meilleur : la grandeur du cœur. Message éminemment sympathique d’un film qui donne envie d’aimer. Télérama