Cette histoire de menteur pathologique sûr de son destin est brillamment mise en scène par le duo Arregi/Garaño. - Les Fiches du Cinéma
Le film n’élucide pas les raisons de ce mensonge (Marco est-il un mythomane ou un salaud ?), mais comment l’étau s’est resserré autour de son auteur lorsque l’historien a été saisi d’un doute. Il instille un rythme de thriller, ponctué de flash-back, et parvient à nous faire trembler avec l’imposteur. - Le Parisien
C'est cette histoire, à laquelle le grand écrivain Javier Cercas avait déjà consacré un livre remarquable en 2015, que racontent les réalisateurs basques Aitor Arregi et Jon Baraño. Leur film, récompensé aux Goya pour la magistrale prestation de l'acteur catalan Eduard Fernandez dans le rôle de Marco, questionne la manière dont un homme perd tout lien avec la réalité. - Le Point
Sous des dehors académiques, le film multiplie les séquences finement vertigineuses, porté par un interprète incroyable : Eduard Fernández, dont on connaît peu le visage en France et qui, jusqu’au moindre poil de moustache teint au cirage, compose un embobineur hallucinant et — mise en abyme forcément savoureuse —, un grand… comédien. - Télérama
Marco est un biopic nécessaire et le récit d’une mémoire volée. Il a été nourri d’interviews avec Enric Marco lui-même, matière première du scénario du film et la préparation de l’acteur principal, Eduard Fernández, parfaitement trouble. - Dernières Nouvelles d'Alsace
La force du film est de démonter l'aventure d'un mythomane et ses mystérieux méandres. Franceinfo Culture
Dans la peau de l’imposteur, on retrouve l’acteur Eduard Fernández, visage incontournable du cinéma espagnol. Il livre une performance saisissante tant il parvient à nous plonger dans les dédales psychiques de Marco.- Ouest France