une Palme d’or méritée pour ce thriller new-yorkais. Les Inrockuptibles
Très réussi, formidablement interprété – Sean Baker a le chic pour révéler d’épatants comédiens « atypiques ». Le Parisien
Pour son huitième long métrage, Sean Baker épouse la forme du conte de fées pour mieux lui remettre les pendules à l’heure, déviante, du capitalisme sauvage américain. L'Humanité
Un conte de fées des temps modernes tout en énergie survoltée, mâtiné de thriller et de comédie, mais aussi une satire puissante du capitalisme. La Croix
On se croirait dans After Hours, de Scorsese. Et puis, quand on commence à se dire que c’est peut-être limite de rire des tuiles de tous ces personnages, l’une désespérément accrochée à son unique sortie de secours, les autres littéralement pitoyables, Sean Baker remet les pendules à l’heure avec un final à l’intensité émotionnelle terrassante. La Voix du Nord
Si son personnage rêvait de changer de vie, ce rôle-là devrait en faire de même pour l’actrice tant elle irradie la pellicule. Une Palme d’Or grand public, sexy, cocasse et surprenante. Abus de Ciné
Sean Baker nous entraîne dans une odyssée sentimentale à travers les marges étincelantes de l’Amérique, où se mêlent l’amour et la fureur, les éclats de rire et les larmes. Bande à part
Casting parfait – de Mikey Madison à Yuriy Borisov caractérisation subtile et critique sociale nourrissent cette réinvention contemporaine, crue et attachante, de la screwball comedy. L'Obs
Porté par l’énergie d’un casting brillant qui donne tout, Anora s’impose comme le meilleur film de Sean Baker et le meilleur d’un cinéma indépendant américain capable de faire du grand cinéma avec des personnages et des récits pas formatés. Tout ça en regardant l’Amérique et ses fictions de travers. Que demander de plus ? CinemaTeaser
Comme son héroïne éponyme, le dernier film de Sean Baker intrigue, convainc et charme par sa fougue juvénile, son culot irrespectueux, et surtout par sa versatilité. Positif