Subtilement mis en scène. Les Inrockuptibles
Un drame lumineux, entre épure et émotion. Télérama
Un magnifique récit d’apprentissage. L'Humanité
Une magnifique méditation sur le deuil et la vie qui continue. La Croix
Sublime sur la forme, très joliment interprété et contant une histoire singulière, ce long-métrage islandais multiplie les audaces et touche au cœur. Le Parisien
le réalisateur Runar Runarsson reste fidèle à une esthétique – il tourne ses films en décor naturel, en un 16 mm dont il apprécie la sensibilité – autant qu’à une éthique : rendre compte, par les moyens du cinéma, de la complexité de l’expérience humaine. Le Monde
La force du film : celle d’installer dans la douleur un temps aussi doux qu’inéluctable, les personnages évoluant presque par le rythme naturel de la mise en scène là où les coups de scénario auraient été si facilement applicables. Cahiers du Cinéma
Empreint d’une profonde humanité, "When the Light breaks", dont l’action se déroule sur une seule journée, parvient sans mal à émouvoir, grâce à une mise en scène d’une extrême pudeur, basée sur ce qu’il faut de symbolique [...] ou de poésie [...], et accompagnée de chœurs aériens aux voix cristallines. Abus de Ciné