WEEK-END BONG JOON-HO

Six ans après Parasite (palme d’or et oscar du meilleur film), Bong Joon-ho poursuit ses questionnements politiques avec Mickey 17, c’est l’occasion de (re)découvrir The Host (2006) qui contenait déjà les principales thématiques de l’œuvre du maître sud-coréen.


2=1 BONG JOON-HO

DEUX FILMS POUR LE PRIX D'UN !

Samedi 19 avril
MICKEY 17 (19 H 30) + THE HOST (22 H 30)
Le Barvis est ouvert de 18 h à 23 h : boissons et petite restauration.


VERSION RESTAURÉE 4K

THE HOST
(GWOEMUL)

FILM SUD-CORÉEN DE BONG JOON-HO (2006 – 2H)
AVEC SONG KANG-HO, HIE-BONG BYEON, PARK HAE-IL

À Séoul, Gang-du tient un petit snack au bord de la rivière où il vit avec sa famille, dont sa fille adorée Hyun-seo. Un jour, un monstre géant surgit des profondeurs de la rivière et attaque la foule. Gang-du tente de s'enfuir avec sa fille, mais elle est enlevée brusquement par le monstre, qui disparaît au fond de la rivière…

Dossier de presse

EXTRAITS DE PRESSE
The Host est un ovni d'une audace et d'une inventivité débridées. Le Parisien
Epopée politique d'une famille partie à la recherche d'un enfant enlevé par un monstre. Un éblouissement. Les Inrockuptibles
On tremble plus d'une fois, on reste aussi scotché par l'imagination délirante à l'oeuvre ici. Télérama
l'un des meilleurs films de monstres (...) mixant allègrement l'épouvante, la comédie, l'action, la science-fiction, le drame et la satire sociale. Un vrai bonheur ! L'Ecran Fantastique
un spectacle assez réjouissant, variation attendue, mais exécutée avec beaucoup de savoir-faire et de malice, autour d'une famille de déclassés confrontée à un épouvantable lézard géant. L'Obs
tout autant une satire politique, un mélo familial, un plaidoyer écologiste ou une comédie, qu'un film de genre prenant d'étonnantes libertés avec les conventions holywoodiennes. Libération
Bong Joon-ho réussit la comédie-thriller écolo-horrifique la plus démentielle qui ait jamais été faite. Normal, c'est sans doute la première. Rolling Stone
The Host vaut (...) surtout pour lui-même, grâce à une mise en scène époustouflante. Le Monde
la plus grande beauté de The Host : si le monstre est un événement, l'événement lui-même n'est rien d'autre qu'une arrivée, une venue. Venir, venir à, arriver, c'est le programme du film. Chaque plan est une invitation. Cahiers du Cinéma
The Host n'est (...) jamais très loin du pastiche de sale gosse, mais il s'en échappe toujours par une étrange lucidité, une angoisse pudique et profonde des menaces qui pèsent sur les personnages, une attention portée aux rebus de la société qui laisse entrevoir un regard politique cinglant. Chronic'art.com