WEEK-END BONG JOON-HO

Six ans après Parasite (palme d’or et oscar du meilleur film), Bong Joon-ho poursuit ses questionnements politiques avec Mickey 17, c’est l’occasion de (re)découvrir The Host (2006) qui contenait déjà les principales thématiques de l’œuvre du maître sud-coréen.


Dimanche 20 avril – 18h15

PARASITE
(GISAENGCHUNG)

FILM SUD-CORÉEN DE BONG JOON HO (2019 – 2H12)
AVEC SONG KANG-HO, WOO-SIK CHOI, PARK SO-DAM
CÉSAR 2020 DU MEILLEUR FILM ÉTRANGER
OSCAR 2020 DU MEILLEUR FILM
PALME D'OR, CANNES 2019

Toute la famille de Ki-taek est au chômage, et s’intéresse fortement au train de vie de la richissime famille Park. Un jour, leur fils réussit à se faire recommander pour donner des cours particuliers d’anglais chez les Park. C’est le début d’un engrenage incontrôlable dont personne ne sortira indemne...

Dossier de presse

EXTRAITS DE PRESSE
Le réalisateur coréen a concocté une implosion cinématographique magistrale à la superbe d’opéra. Parasite est un film politique drôle et noir foncé placé haut dans notre palmarès. L'Humanité
Drôle, hargneux, inquiétant… Le cinéaste orchestre d’une main de maître l’affrontement de deux familles que tout oppose. Une grande Palme d’or, populaire et réjouissante. Télérama
Récente palme d’or à Cannes, la satire cruelle et virtuose du Coréen Bong Joon-ho met en scène deux familles, une riche et une pauvre, dans une lutte des classes verticale. Un retour à son pays après une incartade internationale et une synthèse accomplie des obsessions qui traversaient déjà "Memories of Murder", "The Host" ou "Snowpiercer". Libération
En véritable cinéaste politique, le Coréen s’inscrit dans la tradition des récits de domesticité, tout en restant fidèle à son style virtuose. Le Monde
Le septième long-métrage du Coréen Bong Joon-Ho, tragi-comédie palpitante et sans appel sur les rapports de classes, a dépassé toutes nos attentes, et elles étaient grandes. Le Nouvel Observateur
Un peu à la manière d’Hitchcock ou de Chabrol, à qui le cinéaste sud-coréen a eu le bon goût de rendre hommage en recevant son prix, Bong Joon-ho réussit avec "Parasite" une sorte de tour de force : un film totalement limpide et, en même temps, complexe et mystérieux. Les Inrockuptibles
Parasite, à l’image des chefs-d’œuvre Memories of Murder, The Host et Mother, est un grand film d’angoisse, imprévisible, agité par les névroses et troué d’incertitudes. Cahiers du Cinéma
Bong Joon-ho revient au thriller explosif et en Corée pour une nouvelle satire politique et sociale imparable. Drôle, violent, baroque, maîtrisé : une Palme d'Or imparable. Première
Nous sommes tous le parasite de quelqu’un. Ce propos nihiliste d’une impossible réconciliation entre les différentes strates de la société, Bong Joon-ho l’illustre avec un véritable feu d’artifice. La Voix du Nord
Cette œuvre puissante et originale allie une grande maîtrise formelle à une dénonciation sans concessions des inégalités sociales dans un pays livré aux puissances de l’argent et à l’influence américaine. La Croix