Un film espiègle et fascinant. Télérama
Un film euphorisant tant il ne se laisse pas capturer. Libération
Le flou est d’abord narratif : on ne saura jamais quel est son passé, ses attaches en France, son but dans la capitale. Plutôt que de creuser un mystère et de laisser en suspens le dévoilement d’une identité, Hong substitue le tableau au récit. Cahiers du Cinéma
Huppert incarne un motif poétique plus qu’un caractère, et dans l’ombre de son quant-à-soi se dessine le fantôme de la liberté. Les Inrockuptibles
Hong Sang-soo par ses facilitateurs (poésie et musique) nous rappelle que l’émotion est vecteur de savoir, que l’apprentissage se fait d’abord par le cœur, et que le passé ne définira jamais qui l’on est. Et comme toujours, avec brio" Culturopoing.com
Récompensé d’un grand prix du jury à la Berlinale, le dernier film de l’indispensable et prolifique Hong Sang-soo invite Isabelle Huppert à Séoul et creuse l’hypothèse d’un cinéma du pur instant. L'Humanité
Liberté totale d’interprétation et caméra à l’affût du bel accident de tournage, la méthode instinctive du réalisateur laisse une place de choix à l’imagination de ses comédiens. Le principe d’un voyage réussi. So Film
Tout est frais, prêt à croquer : nous voici lost in fiction (« perdus dans la fiction »), dans un film qui travaille le surréalisme de la rencontre entre deux cultures, l’Orient et l’Occident, comme l’avait fait en son temps, entre Amérique et Japon, Sofia Coppola dans Lost in Translation (2003). Le Monde
Iris, présence légère, attentive, essentielle, ancrée dans le moment présent et la vérité des sentiments, distille l’air de rien une sacrée leçon de vie. Sud Ouest