Un premier long métrage épatant. L'Humanité
« La Pampa » parle avec justesse et sans raccourcis sociologiques de ce qui vous entrave et vous enclave à un âge où rêver semble déjà proscrit. L'Obs
Toutes ces partitions hautes en couleur, alliées à la mise en scène audacieuse et nerveuse du réalisateur, contribuent à rendre « La Pampa » aussi remuant que touchant. Le Parisien
Reflétant les progrès fragiles d’une génération à l’autre, ce film bouillonnant émeut profondément et, sans accabler les protagonistes les plus toxiques, engoncés dans une masculinité rouillée, avance avec les idées au clair. Télérama
Outre la justesse du jeu des acteurs, le film multiplie les déviations avec une vraie grâce, se joue des faux-semblants et finit par atteindre une densité tragique assez bouleversante. Les Inrockuptibles
"La Pampa" envahit l’écran par son humanité, à hauteur d’adolescence, par sa puissance émotionnelle, et par sa capacité à embrasser la vigueur malgré la douleur. Bande à part
Ce premier film d’Antoine Chevrollier raconte l’amitié entre deux adolescents passionnés de motocross et séduit par la justesse de son ton et sa finesse d’écriture. La Croix
Film à la fois dur et bouleversant, La Pampa évoque ce que nous voulons pour nos enfants. La réponse saute aux yeux : derrière les névroses qu’on leur impose, ils ont en fait besoin d’émotions pures. Le film nous en procure. La Voix du Nord
Un regard juste sur une France, en apparence sans histoires, peuplée de violence et de cœurs brisés. CinemaTeaser
Les qualités d'écriture de "La Pampa" permettent aux personnages d'exister en cherchant à échapper aux mille déterminismes de leur milieu comme à la mécanique de ce type de récit dont on connaît chaque rouage. Positif