Jouant sur cette analogie, Ariane Louis-Seize accouche d’un récit à la densité surprenante, où l’on parle de sexualité (les dents qui ne sortent pas, métaphore d’un désir en décalage), de pression sociale, du mal-être adolescent, du rapport à la mort et de féminisme. Le tout, en une heure et demie qui file au rythme de dialogues endiablés. L'Humanité
Ce qui séduit chez Ariane Louis-Seize, c’est la beauté d’une mise en scène qui, entre une photographie nocturne et étrange tout en clair-obscur ou néons envoûtants et un travail élaboré sur le cadre, se fait le reflet des emprises subies par son dissonant duo amoureux. L'Obs
On adore ce film à la fois modeste et délicieux, drôle, tendre et finalement tellement représentatif des affres de l’adolescence. Avec ou sans canines protubérantes. La Voix du Nord
A. Louis-Seize livre un premier long métrage maîtrisé et à l’humour grinçant. Barry Sonnenfeld a trouvé une héritière. Les Fiches du Cinéma
Une variation singulière et emballante autour de la découverte de la sexualité à l'adolescence. Ouest France