Binka Jeliazkova manie l’allégorie avec un savoir-faire teinté d’ironie et de gravité, à la façon d’un Emir Kusturica (…) Ses images sont d’une beauté sidérante, poétiques et politiques à la fois. Télérama
Quatre films splendides de Binka Jeliazkova (...) Le Ballon (1967), effarant chef d’oeuvre, bascule du côté de l’allégorie (...) une épopée hirsute et désordonnée, formellement extravagante (même les chiens sont sous titrés !). Le Monde
Le Ballon attaché, sans doute son chef-d’œuvre, s’éloigne encore davantage du réalisme, l’acidité se mêle à l’absurde. Cahiers du Cinéma
Qu’importe l’étrangeté déconcertante du film, demeure l’irrésistible force et la splendeur des images, auxquelles on s’abandonne volontiers. Libération
Chef-d’œuvre inédit de la cinéaste bulgare Binka Jeliazkova, Le Ballon attaché se moque de la petitesse humaine par le biais d’une fable satirique et poétique à la fois. Les Fiches du Cinéma