18 > 24 OCTOBRE

Yannick

FILM FRANÇAIS DE QUENTIN DUPIEUX | 2023 | 1H07 |
AVEC RAPHAËL QUENARD, PIO MARMAÏ, BLANCHE GARDIN

En pleine représentation de la pièce « Le Cocu », un très mauvais boulevard, Yannick, un spectateur exaspéré, interrompt le spectacle pour reprendre la soirée en main...
« Mépris de classe, vanité du petit monde de la prétendue culture, folie tapie en chacun de nous : la misanthropie de Dupieux se porte bien, son sens de la concision aussi. » L’Obs

HORAIRES

18 > 24 OCTOBRE
mercredi 18:30
samedi 18:00 | 19:30
dimanche 18:00
mardi 16:00 | 19:15 D

EXTRAITS DE PRESSE
Un huis clos original et efficace, entre comédie et thriller. Le Parisien
Un film politique, délirant et rusé. Télérama
Voir Dupieux mettre en scène son pire cauchemar, à savoir ennuyer le public, qui plus est avec un genre, le théâtre de boulevard, censé être pur divertissement, est un ravissement total. Libération
En allant pour une fois au bout de son histoire, en confiant totalement les clés de son monde à la performance démente des comédiens, Dupieux révèle la part sombre et terriblement humaine de son cinéma. Vous n’allez pas oublier ce Yannick de sitôt. CinemaTeaser
Le tour pourrait avoir quelque chose de théorique, mais la direction d’acteur·rices de Dupieux, leur fantaisie fait qu’on y croit, et qu’on ne s’ennuie pas une seule seconde devant ce petit théâtre dans le théâtre, hurluberlu, mais bien pensé. Les Inrockuptibles
Comme Michel Hazanavicius dans « Coupez ! », Quentin Dupieux fait d’abord jouer faux ses acteurs pour préparer un renversement du point de vue. Et comme dans le film de son confrère, ce parti pris fait mouche. L'Humanité
Merci pour ce moment à part, Quentin Dupieux. Puissent cette indépendance d’esprit et cette précieuse irrévérence qui vous animent l’un et l’autre, Raphaël Quenard et vous-même, nous réserver encore bien des surprises cinématographiques du même acabit. Marianne
Dupieux orchestre un crescendo dramatique où chaque réplique est une surprise, une relance, d’un comique vertigineux qui dynamise le texte. [...] Incroyable tour de passe-passe, le film réjouit encore longtemps après sa vision. Franceinfo Culture
Avec ce huis clos en forme de redistribution de cartes du capital culturel, Dupieux gagne en puissance satirique ce qu’il perd en beau bizarre. Tant mieux, car Yannick est un beau film grave et pas si drôle sur la peine des silhouettes de l’arrière-plan du monde. Les Fiches du Cinéma