À PARTIR DU 25 OCTOBRE

Le Règne animal

FILM FRANÇAIS DE THOMAS CAILLEY | 2023 | 2H08 |
AVEC ROMAIN DURIS, ADÈLE EXARCHOPOULOS, PAUL KIRCHER
UN CERTAIN REGARD, CANNES 2023

Dans une France touchée par un étrange virus qui transforme les humains en animaux, un père de famille accompagné de son fils de dix-sept ans part à la recherche de son épouse portée disparue. L’adolescent craint sa mère depuis qu’elle a commencé à se transformer en ours mais il ne sait pas encore qu’il est, lui aussi, contaminé…

HORAIRES

25 > 31 OCTOBRE
mercredi 16:15 | 20:45
jeudi 16:00
vendredi 20:45
samedi 20:45
mardi 16:15 | 18:30

mercredi 18:30
jeudi 18:30
samedi 21:00
dimanche 18:45
mardi 16:30 D

LE MOT DES EXPLOITANT·ES
Une décennie après son premier et remarqué long métrage (Les Combattants), et cinq ans après sa série de science-fiction pour Arte (Ad Vitam), Thomas Cailley a proposé en ouverture d’Un certain Regard Le règne animal. Un film ambitieux, qui convoque le fantastique, la fable écologique, l’enquête policière, la comédie, le teen movie… avec un équilibre détonnant et étonnant rarement vu dans le cinéma français. Ce faisant il ouvre un singulier chemin entre film de genre à grand spectacle ; film français sur les maux d’une époque et variation sur l’avenir de l’humanité. Le film se construit autour de deux grands acteurs et d’un bestiaire fabuleux : Romain Duris, puissant dans le rôle du père de famille aimant et protecteur, Paul Kircher, le lycéen du film de Christophe Honoré, émouvant en ado en mutation et une forêt mystérieuse habitée de créatures extraordinaires. Un coup d’éclat vif et inventif.

Sylvie Buscail – Ciné32, Auch
https://www.art-et-essai.org

EXTRAITS DE PRESSE
Après les Combattants, César du meilleur premier film en 2015, le cinéaste signe une ambitieuse fable fantastique sur notre part d’animalité, la transmission et les liens du sang. Un objet hybride fascinant. L'Humanité
Fusion inédite de genres,du fantastique au teen movie, le film de Thomas Cailley propose un équilibre détonnant, qui ouvre une nouvelle voie pour le cinéma français. Libération
Énorme ambition. Énorme résultat : Le Règne animal impressionne, touche au cœur et flatte la rétine. Du cinéma qui n'a peur de rien. CinemaTeaser
Les effets spéciaux du « Règne animal » sont totalement bluffants et ces créatures impressionnantes de réalisme. Mais ce qui fait de ce long-métrage, très souvent drôle et bouleversant, un film époustouflant, c’est la profondeur des questions qu’il soulève. Le Parisien
On est transporté et ému par cet univers de science-fiction si proche de nous, ce conte si plein de résonance. En mariant audace radicale et cinéma français sensible (avec deux grands acteurs, Romain Duris et Paul Kircher), Thomas Cailley réussit un coup d’éclat ahurissant. Télérama
L’impact émotionnel prime. Ce qui n’exclut ni le sens du spectacle ni un travail fou sur les effets spéciaux (mélange de toutes les techniques : maquillage, animatronique et numérique) qui, comme la richesse de la bande sonore, ajoutent à la dimension immersive de cette belle réussite. Positif
Cailley aborde la mutation comme un projet politique, la monstruosité comme une opportunité de faire contre-société. Plutôt que de justifier le pourquoi du comment, il fait le choix judicieux d’explorer les conséquences d’un devenir-animal, d’abord subi avant d’être embrassé pleinement. Les Inrockuptibles
Mais pour l’instant, un conseil : trouvez-vous une place dans la petite bagnole de Romain Duris, accrochez votre ceinture, et préparez-vous au choc. Le Règne animal est un chef-d’œuvre étourdissant. Première
De cette étrange chrysalide s’extrait un long-métrage poétique et bouleversant, au final inoubliable. Le genre de proposition qu’on ne peut pas refuser. La Voix du Nord
La preuve qu’on est capable en France, sans se renier ni copier les Américains, de conjuguer spectacle et ambition. L'Obs
C’est dans cet équilibre très travaillé que le réalisateur apporte sa singularité et sa capacité à interroger les enjeux de notre monde contemporain à travers une histoire universelle. Du grand art. La Croix