DU 12 AU 18 JUIN

La Belle de Gaza

FILM DOCUMENTAIRE FRANÇAIS DE YOLANDE ZAUBERMAN | 2024 | 1H15
SÉLECTION OFFICIELLE, CANNES 2024

Fasciné par la vision d’une prostituée transgenre dans les rues de Tel-Aviv, la documentariste part à sa recherche et lève le voile sur tout un monde insoupçonnable…

« La différence entre la nuit et les ténèbres, c’est que la nuit contient encore des lumières, je cherche la lumière pour repousser les ténèbres. Qu’est-ce qui peut encore nous éclairer ? Le visage d’un être aimé, celui de ces femmes, qui m’ont bouleversée. » Yolande Zauberman

HORAIRES

12 > 18 JUIN
mercredi 18:30
vendredi 20:45
samedi 17:00
dimanche 18:30
mardi 18:30 D

Dossier de presse

EXTRAITS DE PRESSE
Un film fort au cours duquel la réalisatrice parvient, malgré les conditions difficiles de tournage, à faire du vrai et beau cinéma. La Parisien
La cinéaste, qui tient la caméra et filme à distance, éclaire la nuit, faisant jaillir de l’obscurité, comme des flashs, ces corps dénudés, héroïques, exposés au danger. Le Monde
Le nouveau documentaire de Yolande Zauberman fascine autant qu’il émeut. Par sa tentative de réconciliation de l’irréconciliable, par sa générosité humaniste, par son scintillement dans la nuit. Bande à part
Une enquête prétexte à une galerie de portraits nocturnes et sensibles, éclairant les existences transgenres en Israël et Palestine. Libération
Ce partage d’intimité fait la beauté et la force d’un documentaire d’une fulgurante humanité. Un film flamboyant, réalisé avant le 7 octobre 2023, mais qui, à sa manière, traite de bout en bout de passages de frontières. Télérama
Un film qui va vers le politique, mais avec pour guides l’instinct, l’attirance, l’affinité, le goût du beau, l’attrait pour la lumière, le sens du rêve. Les Fiches du Cinéma
Yolande Zauberman avec sa caméra n’est pas une intruse qui viendrait puiser le temps d’une immersion quelques sensations. Tout fait corps à l’image. L’échange se matérialise par la grâce d’une mise en scène proche des êtres d’où émerge une beauté tragique. Puissant. Première
Le montage est vivace, voire brutal, comme si ces moments de partage, arrachés à un quotidien marqué par la solitude, étaient fragiles, fugaces. Un récit incandescent et délicat, au cœur des marges. Sud Ouest