cette œuvre - chaînon manquant cher aux cinéphiles ou plaisir innocent de la découverte - il ne faut surtout pas le manquer. Le Monde
Que dire de ces deux petits bijoux primitifs (...), mais si gentils, si intelligents et si anarchistes qu'ils vous donnent envie d'aller courir dans les champs en criant des bêtises. Les Inrockuptibles
Panda petite panda conviendra surtout aux tout petits, mais ne manque pas de piquant. L'Humanité
ce conte, naïf et coloré destiné en priorité aux tout-petits n'en est pas moins indispensable pour qui s'intéresse à l'oeuvre du cinéma d'animation japonais. Première
Si l'animation, plutôt sommaire, a pris un coup de vieux, la magie des histoires imaginées par Hayao Miyazaki a conservé toute sa fraîcheur. Télérama
ces deux moyens-métrages réalisés en 1973 sont de véritables pépites. (...) grâce à une animation qui, sans atteindre encore les sommets de virtuosité des futurs chefs-d'oeuvre, possède déjà pleinement un merveilleux sens de la couleur, de l'espace et de la poésie bucolique. L'Obs