Avec “Only the River Flows”, Wei Shujun réussit un polar à la complexité inattendue. Les Inrockuptibles
Tourné en pellicule, le film est particulièrement beau esthétiquement, avec une vraie atmosphère de polar. Le Point
Only the river flows se défait du code du polar pour explorer d’autres voies. Avec bonheur. Franceinfo Culture
Réel et poésie se mélangent dans ce film fantasque et fantomatique, signé par le jeune réalisateur Wei Shujun. Télérama
Film policier très noir, qui lorgne du coté de Diao Yi’nan et de son Black Coal (2014), Only the Rivers Flows montre des qualités oniriques et plastiques qui en font une proposition glaciale et virtuose, qui joue avec les sens du spectateur. Les Fiches du Cinéma
Un polar chinois ténébreux à souhait. Dernières Nouvelles d'Alsace
Sont-ce les cauchemars du flic ou sa paranoïa qui s’invitent dans le récit faussement calme, comme le courant du fleuve ? A la fin, un mystère demeure et, avec lui, l’impression d’une contrée gouvernée par des intérêts obscurs qui écrasent l’individu. Ce n’est pas rien. L'Obs
Plus qu’un récit policier sur une série de meurtres au bord d’une rivière, Only the River Flows est une traversée dans la psychologie tourmentée d’un flic, confronté à la misère humaine et au dysfonctionnement des institutions publiques. Un film fascinant et mystérieux. aVoir-aLire.com