« Anzu, chat-fantôme », un voyage burlesque d’enfer. La Croix
Surtout, il est rare de voir coexister à ce point dans un même monde onirisme et prosaïsme, pastiche burlesque de franchises d’action et calme contemplation des tristesses enfantines. Libération
Dotée d’une bonne dose de fantastique, le récit, qui reste assez enfantin, permet d’aborder la question du deuil et de l’abandon, avec des traits d’humour venant de ce personnage de chat âgé de 37 ans, qui aurait donc dû mourir il y a bien longtemps, et qui s’avère aussi têtu que râleur. Abus de Ciné