À partir de 18h, l’équipe de DSN vous invite à célébrer l’ouverture de cette nouvelle saison autour d’un verre. Vous découvrirez en images les grands rendez-vous de la saison 17/18, en compagnie de quelques-uns des artistes qui y seront associés. Après la présentation, une petite restauration (payante) sera proposée, puis DSN vous entraînera à Naples avec le concert chaleureux et exubérant de Lalala Napoli !
Le groupe soudé autour de François Castiello (Bratsch) détourne audacieusement des morceaux du répertoire traditionnel napolitain et chante à pleins poumons ses compositions contrastées comme l’âme de la ville, ses sérénades, ses tarentelles, sa joie d’être vivant ! Avec Disperato, leur dernier album, on explore Naples dans tous les sens, on s’engouffre dans ses ruelles, on prend le funiculaire, on chante l’amour et la liberté. Un son à la fois acoustique et électrique, nu et puissant, une tension qui monte en élan libérateur sublimant toute forme de nostalgie en fête collective.
« À la croisée des Balkans et de l’Italie du Sud, l’accordéoniste François Castiello embarque sa troupe dans un tourbillon punk secoué de rires de clarinette, de stridences de violon, de sifflets de flûte, de détonations de pétards et de choeurs jetés à la lune. La tarentelle, pour Lalala Napoli, c’est d’abord de l’énergie brute, un trépignement païen de vie bouffonne, gaie jusque dans la tragédie. » Les Inrockuptibles
Accordéon, chant François Castiello. Accordéon Julien Cretin. Flûte, guitare Thomas Garnier. Contrebasse Florent Hermet. Violon Nicolas Lopez. Batterie François Vinoche. Son Adrien Virat. Lumière Guillaume Tarnaud.
Production La Curieuse.
© photo : L. Gessler, C. Milord
LALALA NAPOLI revisite et réinvente la musique napolitaine et la tarentelle à travers le Naples fantasmé de François Castiello, chanteur et accordéoniste de Bratsch.
Réunis autour des musiques populaires, les six musiciens explorent librement l'imaginaire des chansons napolitaines, réveillent la sérénade et insufflent un air nouveau à la tarentelle en y mêlant électricité, influences d'Europe Centrale et d'ailleurs. Avec énergie et générosité, Lalala Napoli entraine esprits et corps dans la danse, pour un bal napolitain, chaleureux et exubérant.
Avec Disperato, on explore Naples dans tous les sens, on s'engouffre dans ses ruelles, on prend le funiculaire, on chante l'amour et surtout la liberté!
Album éclectique, comme des pièces de tissu bariolées cousues ensembles pour former un grand costume d'Arlequin, fauché et heureux de l'être (« disperato » en napolitain), un ensemble de regards posés sur la ville mythique par ses enfants grandis ailleurs, que sont les musiciens de Lalala Napoli.
Le groupe soudé autour de François Castiello (Bratsch) chante à plein poumons des morceaux du répertoire traditionnel, détournés audacieusement, et des compositions crues ou douces, aussi contrastées que l'âme de Napoli.
Un son à la fois acoustique et électrique, nu ou puissant, une tension qui monte en élan libérateur sublimant toute forme de nostalgie en fête collective.
Fauchés heureux ! Comme un graffiti écrit sur les murs des ruelles que l'on parcourt à toute vitesse ou au pas, dans ses sérénades, ses transes électriques, ses chants généreux: dans sa joie d'être vivant!
"Amour, soleil, liberté", clament sur leur premier disque (Amore, Sole, Liberta) le chanteur accordéoniste François Castiello (Bratsch) et ses nouveaux amis: ensemble, ils mènent ce bal napolitain jusqu'à la transe, avec une fièvre, une rage très rock'n'roll. Télérama
A la croisée des Balkans et de l’Italie du Sud, l’accordéoniste François Castiello embarque sa troupe dans un tourbillon punk secoué de rires de clarinette, de stridences de violon, de sifflets de flûte, de détonations de pétards et de chœurs jetés à la lune. La tarantelle, pour Lalala Napoli, c’est d’abord de l’énergie brute, un trépignement païen de vie bouffonne, gaie jusque dans la tragédie. On goûte aux transes d’Amore sole libertà à pleines dents, avec le sourire épanoui d’un Falstaff régalé. Les Inrocks
À travers des classiques signés Renato Carsone ou Fabrizio De André et des compositions originales, le groupe réinvente l'héritage (flûtes celtes, guitare à reverb) avec enthousiasme et une part de la folie balkanique. Libération
Il flottait dans la salle comme un air de fête méditerranéenne que les nombreux spectateurs de tous âges ont applaudi à tout rompre. Amore ! sole ! liberta ! (amour, soleil, liberté) chantaient les sept musiciens emmenés par la voix rauque et l'accordéon inspiré de François Castiello, ex-Bratsh mais Napolitain pour toujours. « Entrez dans la transe napolitaine multicolore et cueillez-y le goût de la vie et du partage ! », semblaient-ils dire. Dans ce cabaret plein de couleurs et de saveurs que n'aurait pas reniées un Fellini, les notes dessinaient un monde grouillant de vitalité joyeuse. Les spectateurs ont apprécié ce théâtre de rue musical qui tanguait de tarentelle-qui-rend-fou en sérénade-qui-rend-amoureux. Il célébrait avec générosité la joie d'être vivant. Ce fut une belle fête, un moment chaleureux et lumineux, digne de la belle saison musicale de la salle saint-martinoise ! Le Télégramme